Les exhibitions de Sophie
Un de mes meilleurs souvenirs date de l'automne dernier.
Un samedi, en fin d'après midi, Jérome et moi avions décidé d'aller flaner dans le centre ville pour faire quelques boutiques. Il faisait encore assez doux et j'avais sur moi une longue robe légère qui était vendue avec un jupon (beurk !) car de matière un peu type mousseline épaisse, de couleur beige-marron. Je la porte sans jupon et sans culotte.
Jérome adore cette robe car elle dévoile parfaitement la silhouette de mes jambes et lorsque les effets de lumière sont avantageux ce sont alors mes fesses et mon entrejambe qui apparaissent de façon intermittente en fonction des mouvements du tissu (et donc le plus "naturellement" et "involontairement" du monde).
Nous voilà partis, avec ce jour là un formibale soleil de fin d'après midi (donc assez bas, pour les petits malins qui ont déjà tout compris). Jérome prenait un malin plaisir à marcher derrière moi pour constater l'effet produit. Lorsque je marchais on distinguait parfaitement le dessin de mes jambes, et lorsque je m'arrâtais face au soleil c'est toute ma silhouette qui aparaissait comme nue !
D'après lui l'effet était encore plus saisissant car à la (dé)faveur d'un immeuble ou d'un store le spectale prenait soudainement fin, avant de revenir...
J'ai pris un grand plaisir à lire les regards amusés et/ou excités des hommes et des femmes croisés ce jour là. Je me souviens parfaitement du vendeur de bonbons devant lequel je me suis arrêtée les jambes légèrement écartée. L'exposition de son magasin lui offrait forcément mes courbes les plus intimes.
Sophie.
Un samedi, en fin d'après midi, Jérome et moi avions décidé d'aller flaner dans le centre ville pour faire quelques boutiques. Il faisait encore assez doux et j'avais sur moi une longue robe légère qui était vendue avec un jupon (beurk !) car de matière un peu type mousseline épaisse, de couleur beige-marron. Je la porte sans jupon et sans culotte.
Jérome adore cette robe car elle dévoile parfaitement la silhouette de mes jambes et lorsque les effets de lumière sont avantageux ce sont alors mes fesses et mon entrejambe qui apparaissent de façon intermittente en fonction des mouvements du tissu (et donc le plus "naturellement" et "involontairement" du monde).
Nous voilà partis, avec ce jour là un formibale soleil de fin d'après midi (donc assez bas, pour les petits malins qui ont déjà tout compris). Jérome prenait un malin plaisir à marcher derrière moi pour constater l'effet produit. Lorsque je marchais on distinguait parfaitement le dessin de mes jambes, et lorsque je m'arrâtais face au soleil c'est toute ma silhouette qui aparaissait comme nue !
D'après lui l'effet était encore plus saisissant car à la (dé)faveur d'un immeuble ou d'un store le spectale prenait soudainement fin, avant de revenir...
J'ai pris un grand plaisir à lire les regards amusés et/ou excités des hommes et des femmes croisés ce jour là. Je me souviens parfaitement du vendeur de bonbons devant lequel je me suis arrêtée les jambes légèrement écartée. L'exposition de son magasin lui offrait forcément mes courbes les plus intimes.
Sophie.
Ven 24 mar 2006
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