Les exhibitions de Sophie

Coucou,

Comme promis, voici le premier récit de nos aventures au Cap d'Agde, avec une intro "documentaire" et une fin plus personnelle...

 Pour ceux qui ne connaissent pas le quartier naturiste du Cap d’Agde, la plage est divisée en plusieurs parties. L’immense majorité de la plage est ainsi familiale (bien que je n’irai jamais avec mes enfants là bas !!!) alors que plus on se rapproche de Marseillan, plus c’est chaud.

La partie la plus chaude se situe entre le poste de surveillance et la fin de la partie naturiste (où se situe la partie gay). Si vous passez par là-bas en saison vous ne pourrez pas vous tromper puisque la partie coquine est celle où la densité de serviette et de parasols est la plus grande !! 

Pourquoi une telle densité alors que la plage est immense ? pour deux raisons évidentes :

-         le rapprochement favorise les jeux érotiques, l’exhibition…et le voyeurisme

-         cette forêt de parasols et de corps crée une (relative) barrière visuelle pour se protéger des méchants hommes en bleu qui nous surveillent

Par contre oubliez les dunes puisque la surveillance (à cheval) y est particulièrement intense. Je ne sais pas s’il s’y passe encore des « choses », mais j’en doute.

Jérome et moi sommes allés presque tous les jours sur la plage coquine, et comme je vous le disais précédemment l’ambiance est plus ou moins chaude selon les jours. La présence policière au poste de secours y est pour beaucoup. Ainsi le lundi il n’y avait aucun policier visible et ce fut assez torride. Idem pour le mercredi où je me suis bien lâchée (voir plus bas) !

En général il faut attendre la fin d’après midi pour voir les premiers câlins. Ainsi vers 17h00 on commence à voir les mains de ces dames se rapprocher de la virilité de leur compagnon, et inversement… Parfois ces jeux se font à trois, mais c’est assez rare.  Le signal est alors donné et les caresses se multiplient à droite et à gauche. C’est surtout vers le bord de l’eau que c’est le plus chaud, mais pas toujours.

Puis apparaissent les premières fellations, d’abord timides et furtives, puis plus appliquées et moins dissimulées. Ces messieurs ont plus de mal à rendre la pareille aux dames car l’affaire est évidemment moins discrète (toujours ces satanés veilleurs bleus !). Mais c’est tout de même possible !

Parfois, mais c’est très rare, deux corps se rapprochent et s’unissent à la vue de tous, mais avec une certaine réserve et discrétion malgré tout.

Ces jeux érotiques font évidemment le bonheur des voyeurs en tout genre qui ont tendance à se multiplier vers la fin d’après-midi. Vous les reconnaîtrez facilement : ils portent en général un T-shirt (car les longues promenades au soleil c’est dangereux !), une serviette à la main (car il faut pourvoir changer de place et s’asseoir dans le sable si le spectacle est intéressant), voire leur chaussures (car depuis Marseillan ça fait quand même une trotte !). Au début on est un peu gêné devant une telle assistance peu désirable et peu désirée, puis on s’y fait, et finalement on s’en amuse !

Et nous dans tout ça ???

Vous vous doutez bien que notre attirance pour l’exhibition nous a poussés à « jouer » tous les jours.

En général c’est Jérome qui commençait par me caresser doucement. Moi sur le dos il m’embrassait les seins pendant que sa main jouait avec mon clito. J’écartais les cuisses au grand plaisir de nos voisins qui ne pouvaient ignorer mon état d’excitation. Jérome en profitait alors pour glisser un puis plusieurs doigts dans ma chatte. Il adorait également jouer avec mon cul et y glisser un ou deux doigts en m’écartant bien les fesses pour que les spectateurs puissent bien distinguer ses doigts dans mon cul. C’est en général à ce moment là que je saisissais sa bite entre mes doigts pour commencer un lent va et viens. Le fait de m’exhiber avec des doigts dans le cul m’excitait terriblement. J’avais envie de jouer les salopes !!

Si c’est lui qui commençait en général à me caresser c’est souvent moi qui le prenais la première en bouche (c’est évidemment plus facile comme je le disais plus haut). Lui dos au poste de surveillance, il m’était facile de me pencher en avant et de le sucer… Quel plaisir de jeter un coup d’œil aux alentours et de lire les regards jaloux et excités !!! Plusieurs fois nous nous sommes retrouvés à plusieurs couples voisins avec les femmes en train de sucer leur mari (copain/amant…). Je vous promets que la situation est alors cocasse !

Ma position favorite pour permettre à Jérome de le lécher était de me mettre sur le côté, avec la jambe supérieure rabattue plus haute que l’autre. Jérome écartait alors mes fesses avec ses mains et y plongeait sa bouche et sa langue, passant de ma chatte à mon clito, puis à mon cul. Le spectacle était alors torride pour les voisins ! Je me souviens avoir pris un pied d’enfer !! Autour de nous les mecs se caressaient la bite sans se cacher…hummm !

Le summum du plaisir fut atteint le mercredi vers 19h30. Nous étions assez proches de l’eau ce jour là et pas de policier visible… Nos petits jeux habituels nous avaient déjà bien chauffés, ainsi que nos voisins. Je ne sais pas pourquoi, mais ce jour là je mouillais abondamment, plus que d’habitude, j’étais littéralement trempée, la serviette aussi… Jérome a alors commencé à me pénétrer avec deux, puis trois doigts, très profondément. Sur le dos, cuisses bien écartées j’ai alors commencé à onduler mon bassin pour aller à la rencontre de ses doigts… Concentrée sur mon seul plaisir j’oubliais les lieux, les voisins, les voisines… Un quatrième doigt, puis le pouce… Je sens la base de la main de Jérome en moi et le  plaisir qui monte en moi… Jérome promène sa lange sur mon clito en même temps. J’ouvre les yeux… une vingtaine de têtes sont tournées vers nous. Je suis très excitée. Les vagues de la mer, celles de mon plaisir, le soleil, les doigts de Jérome, le désir dans les yeux des spectateurs… J’ondule de plus en plus mes fesses, je me lâche complètement, m’abandonnant au plaisir en ayant le sentiment d’offrir aux autres le spectacle de ma jouissance…Personne n’est dupe, j’ai la bouche grande ouverte, le souffle court, des petits gémissement mal contenus se font entendre…tous n’attendent que ma délivrance…Un tsunami de plaisir m’envahit alors, m’inonde au plus profond de moi.... Je jouis avec une rare intensité.

Merci mon chéri.

Sophie

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